Le mauvais cadrage débordement de Patrick Arlettaz
Après la belle victoire de l’USAP face à Mont-de-Marsan, quelle mouche a donc piqué l’entraîneur Patrick Arlettaz pour mettre en cause les équipements sportifs financés par la Ville de Perpignan ?
S’agit-il d’une déclaration de chochotte ou d’une intervention purement politicienne ?
En aucune manière, Patrick Arlettaz ne peut ignorer l’actuel calendrier électoral des élections législatives.
Et dans ce cas de figure, un devoir de réserve doit s’imposer naturellement pour les responsables des clubs sportifs qui bénéficient des subventions municipales de la Ville de Perpignan.
Certes, à crédit et avec l’argent des contribuables on peut toujours faire plus !
Sincèrement, une telle déclaration publique de la part d’un responsable sportif d’un club de la ville de Perpignan à l’approche du second tour des élections législatives n’est pas du tout opportune et encore moins sérieuse.
Henri Ramoneda