Le 19 janvier 2014, nous écrivions dans ces mêmes colonnes : « Voilà un an et demi qu’un exilé économique d’Espagne dort dans sa voiture à la promenade des platanes… ». Il s’appelait Mustafa. Aujourd’hui, c’est Frédéric qui connaît la même situation. Non pas aux platanes, mais bien, sur la place Arago. Et ce n’est pas des ragots ! L’histoire serait-elle un éternel recommencement dans ce qu’elle a...