Michel Pons, dans son chalet familial en Cerdagne.   Hier soir, Michel Pons s’en est allé, sur la pointe des pieds, tout-doucement. Avec lui, c’est une page de presque un demi-siècle d’histoire perpignanaise qui se tourne. Bien que natif de l’Hérault, il avait adopté Perpignan, ou plutôt, celle qui fut la fière capitale du royaume...