(Communiqué)
“Mgr Norbert Turini – Evêque de Perpignan-Elne, se dit particulièrement étonné par les propos qui ont été rapportés sur le site de l’Ouillade (ouillade.eu) ce samedi 17 avril

 

 

Contrairement à ce qui est dit dans cet article :

 

1)- Il est hors de question de fermer l’Eglise Saint-Joseph.
2)- Au contraire, Mgr Norbert Turini, profitant de l’Année Saint-Joseph promulguée par le Pape François, érige l’église en Sanctuaire diocésain, pour davantage la mettre en valeur et surtout son Saint Patron.
Il sait à quel point la communauté diocésaine, particulièrement les Perpignanais, tiennent à ce lieu spirituel.
3)- Il a demandé à la Communauté Shalom, formée de jeunes laïcs consacrés, présente dans 32 pays
et dans quatre diocèses de France, d’assurer l’animation spirituelle et missionnaire de ce Sanctuaire.
A cet effet il a nommé le Chanoine Jean-Paul Soulet (Curé de la Communauté de paroisses Saint Jean-Baptiste, Recteur de la Cathédrale), recteur du Sanctuaire pour accompagner cette Communauté.
4)- La vie liturgique du Sanctuaire n’en sera que plus riche avec tous les soirs, vêpres et adoration eucharistique et une messe le dimanche matin, ce que revendiquaient de longue date les paroissiens
mécontents et à laquelle ils pourront participer.
5)- A la demande de l’évêque, cette Communauté Shalom a pour mission de travailler et collaborer, comme elle le fait ailleurs, avec les fidèles de Saint Joseph qui sont au service de l’église depuis tant d’années et pour lesquels Mgr Turini a beaucoup de reconnaissance.
Il le leur a une nouvelle fois témoigné le jour de l’ouverture de l’année Saint Joseph, le 19 mars 2021, qui a rassemblé plus de 250 personnes de Perpignan et d’ailleurs. Preuve de l’attachement des catholiques au Père adoptif de Jésus.
6)- La messe célébrée pour les scouts et guides d’Europe n’est nullement remise en question, pas plus que leur présence dans la vie du sanctuaire.
L’Evêque appelle de tous ses vÅ“ux la fin des fausses rumeurs, qui depuis des années annoncent la fermeture de cette église historique, chère au cÅ“ur des Perpignanais. C’est tout le contraire qu’il veut faire : faire vivre Saint Joseph”.