(Communiqué)

 

 

Un peu d’histoire : la première salle de cinéma norvégienne ouvre en 1904 et le premier film important, La Malédiction de la pauvreté de Halfdan Nobel Roede date de 1911

 

À partir de 1920, les cinéastes délaissent les mélodrames pour des films/documentaires sur les paysans et la campagne vus de façon idéalisée ou plus réaliste.

Les années 50 sont prolifiques. Le film noir La mort est une caresse d’Edith Carlmar est un succès. Le rescapé d’Arne Skouen (1957) est élu film préféré du public en 1991, cette histoire vraie sera reprise par Harald Zwart, en 2017 dans Le 12e homme.

Erich Lochen rejoint la Nouvelle vague avec La chasse (1959).

En 2000, Bergen, capitale européenne de la culture, crée son festival international du film.

Son prix, le Cinema Extraordinare, est décerné à un film étranger par un jury norvégien.

 

Depuis, plusieurs films ont été nominés ou récompensés lors de grands festivals et en 2006, la production nationale a battu des records avec la sortie de 21 longs métrages alors que la moyenne est plutôt comprise entre douze et vingt films.

 

Cinq films :

-Jeudi 21 septembre, 20H 30 – Film : Le 12e homme (2017 – 2h15 – VOSTF)

-Vendredi 22 septembre, 20H 30 – Film : Les révoltés de l’île du diable (2011- 1h55 – VOSTF)

-Samedi 23 septembre, 14H – Film : En eaux troubles (2009 – 1h36 – VOSTF)

-Samedi 23 septembre, 17H – Film : La traversée (2020 – 1h36 – VOSTF)

-Samedi 23 septembre, 20H 30 – Film : Headhunters (2011 – 1h40 – VOSTF).