Le 30 novembre 2012, Jacques Cresta (PS), député de la 1ère circonscription et vice-président de la Région, interpellait le préfet des Pyrénées-Orientales, René Bidal, “sur la mise en place de l’hébergement d’urgence dans le département des Pyrénées-Orientales, en raison de l’arrivée des premières vagues de grand froid”

Monsieur le préfet, par courrier en date du 11 décembre 2012, apporte les précisions suivantes concernant la mise en place du dispositif, en vigueur dans les P-O depuis le 1er novembre dernier :

“Outre les places d’urgence qui fonctionnent tout au long de l’année, au nombre de 52, dont 20 pour l’arrondissement de Perpignan, le dispositif mis en place par la Préfecture a permis d’ouvrir ou de mettre à disposition 84 places supplémentaires sur Perpignan.

De plus, une offre en accueil de jour est renforcée sur Perpignan notamment, qui concentre 98% de la demande d’hébergement en période hivernale.

Ce dispositif a fait ses preuves, puisque l’an dernier, le département est parvenu à satisfaire la quasi totalité de la demande (…)”.

Les services de l’Etat, sous l’oeil avisé de la Direction départementale de la cohésion sociale (DDCS), font un point quotidien, en cette période hivernale, sur le taux d’occupation des hébergements d’urgence.

Malgré quelques pics de températures négatives, l’ensemble des demandes ont été satisfaites.

L’an dernier, l’Etat a consacré, pour notre département, une enveloppe de 915 000 euros, de novembre à fin mars, pour assurer l’accueil des populations particulièrement fragiles en période hivernale.

Les services de l’Etat, sous la direction du préfet René Bidal, ainsi que de son secrétaire général Pierre Regnault de la Mothe, pour l’arrondissement de Perpignan, sont particulièrement au fait et viigilants sur ces questions.