Lu, en page 116, du magazine mensuel Capital (juillet 2015)…

Rien ne ressemble plus à une pêche du Roussillon qu’une pêche espagnole. Comme ce négociant pincé avec 102 tonnes faussement tricolores, des filous disposent les fruits ibériques, 40% moins chers à l’achat, dans des cagettes étiquetées en français. Ils sont de plus en plus nombreux  à le faire, déplore Patrice Vulpian, producteur dans les Bouches-du-Rhône. Plus de 130 000 tonnes de fruits ont passé la frontière en 2014, autant de naturalisés potentiels… Conseil : faites préciser la provenance”.Â