Lors de la période de confinement début 2020, lié à la crise du COVID-19, la question de l’accès à une alimentation locale, fraîche, saine et d’un coût abordable s’est particulièrement posée dans les zones urbaines et périurbaines.
Les jardins partagés et collectifs existants ont permis de répondre à ces questions notamment pour des personnes rencontrant des difficultés économiques et sociales. Bénéficier d’un jardin partagé ou collectif est en outre favorable à la santé et au bien-être, en donnant l’occasion de sortir en plein air à proximité de son domicile, de sociabiliser avec d’autres habitants du quartier de toutes origines, d’exercer une activité physique relaxante, et de participer concrètement aux enjeux agroécologiques et climatiques. En donnant l’occasion aux citadins de se confronter à des formes de production agricole, même à petite échelle, les jardins partagés ou collectifs permettent de créer du lien entre monde rural et urbain, en
reconnectant les citadins aux cycles du vivant.
Aussi, le plan de relance prévoit une mesure pour le développement des jardins partagés et collectifs. Cette enveloppe a connu un grand succès dans le département avec déjà huit lauréats :

 

CP Jardins partagés