LÂ’’offense est en fait le premier roman dÂ’un trilogie du mal, suivie dÂ’un second roman Le Correcteur et de La Philosophie en hiver.
La dernière pierre noire de son œoeuvre a pour titre Medusa. Dans ce roman, lÂ’auteur place un photographe face aux charniers de lÂ’’histoire. Né sans avoir été désiré dans une famille allemande au début du XX° siècle, lÂ’’homme se découvre très jeune une obsession pour lÂ’’image. Orphelin de père à 5 ans, élevé par une mère qui ne lÂ’’aimera jamais, le jeune garçon trouve dans lÂ’’art un dérivatif salvateur.
Successivement peintre, photographe et cinéaste, il va consacrer sa vie à représenter ce quÂ’’il voit du monde. “Mythe et histoire sauveraient lÂ’’homme du non-sens”, lit-on au début de votre roman. Prohaska, le personnage du roman renferme bien des mystères. On apprend que le narrateur a écrit une thèse de doctorat sur « lÂ’’iconographie du mal au XX° siècle ».