Eric Maria vit près de Perpignan et travaille dans le domaine de l’océanographie depuis plus de trente ans. Il a quatre enfants, est passionné par l’histoire des civilisations antiques et la littérature en général. « Une histoire à la con ou le devoir d’être » est son quatrième roman aux éditions Les Presses Littéraires, après s’être essayé au thriller et à l’Héroic fantasy. Dans ce nouvel opus, il porte un regard très personnel sur la société actuelle, qu’il met en vie dans une histoire d’amour impossible…
 

 

 

 

 

 

L’interview d’Eric Maria

 

 

-Qui êtes-vous ?

“Je suis Eric Maria, j’ai 57 ans, je travaille dans le domaine de l’océanographie depuis plus de trente ans et j’ai quatre enfants. Je suis passionné par l’histoire Antique et la littérature en générale. « Une histoire à la con ou le devoir d’être » est mon quatrième roman publié aux éditions les Presses littéraires, après m’être essayé au thriller ( Hédona ) et à l’héroïc fantasy (Les Apprentis-méritants). J’ai également abordé des histoires courtes, liées à la région, (Les chroniques d’Archibald Pioc)”.

-Comment l’idée de ce livre est-elle née ?

“Ce livre est né de mes inquiétudes et de mes interrogations concernant le monde dans lequel nous vivons, mais surtout de ladite société occidentale, société de consommation à plus d’un titre. Comme dans mes autres romans, j’ai confronté alors des personnages que tout sépare, plongés dans leur vie, leur inquiétudes, leurs interrogations et faisant en sorte qu’ils se rencontrent à un moment donné, pour que tout ce qui les opposent puisse se transformer, s’unir, se résoudre… J’affectionne tout particulièrement les histoires dans lesquelles les oppositions et les contraires puissent se confronter et s’imbriquer pour faire en sorte que les impossibilités puissent devenir possibles”.

-Combien de temps vous a pris l’écriture de ce livre ? Avez-vous rencontré des difficultés ?

“En fait, ce livre me suit depuis plusieurs années déjà. Initialement il était un carnet de notes sur mes observations, mes questionnements, mes interrogations sur notre société. J’ai nourri ce carnet de lectures, de reportages, d’émissions géopolitiques, pendant deux années environ, jusqu’à que l’histoire de ce retraité dépité et de cette femme courageuse et malade, se dessine petit à petit et prenne vie dans les méandres de notre temps. Ne voulant pas en faire un gros roman, la difficulté majeure a été d’être clair et succinct, allant à l’essentiel, et dans un rythme soutenu pour ne pas que le lecteur décroche. J’espère avoir réussi”.