“Le Figaro” daté du samedi 8 – dimanche 9 juin 2013 (page 11).

Dans son édition datée du samedi 8 – dimanche 9 juin 2013, sous la plume de son correspondant à Montpellier, Guillaume Mollaret, le journal Le Figaro, en page 11, consacre un long article – intitulé “Languedoc-Roussillon : la gestion des années Frêche étrillée” – suite à “trois enquêtes préliminaires ouvertes après un rapport critique de la Chambre régionale des comptes et deux plaintes déposées par une association de contribuables”.

Dans un encadré qui accompagne cet article, “Une agence de communication visée”, Pascal Provencel, fondateur et P-DG de d’agence de communication Sens Inédit, bien connu des Perpignanais pour avoir entre autres assurer le succès médiatico-publicitaire du sénateur-président de la Région, Christian Bourquin (PS), alors qu’il était patron du Département, s’explique :

“Quand je lis ça (Ndlr. Le rapport de la Chambre régionale des comptes qui pointe diverses anomalies concernant l’attribution d’appels d’offre…), je suis malheureux pour mes 40 salariés. Pourquoi veut-on la peau de Sens Inédit ? (…). J’espère que les enquêtes en cours concernant mon entreprise seront vite bouclées et sans suite. Derrière ça, il y a la politique. M. Taoumi, qui m’accuse, veut se présenter aux municipales à Montpellier. J’ai porté quatre fois plainte contre lui pour diffamation et préjudice commercial. Dire que Provencel truste tous les marchés, c’est faux ! L’an dernier, sur trente-deux appels d’offres, j’en ai eu huit.