JEAN-MARC PUJOL, MAIRE DE PERPIGNAN : « POURQUOI NOUS DEFENDRONS LE PROJET DU PATIO COMTEROUX JUSQU’AU BOUT »

 

“Le projet de 13 000m² de surfaces non alimentaires est exemplaire en matière de stationnement, de développement durable et d’architecture.

Il s’implante sur un terrain déjà occupé par une activité commerciale et économique, les établissements COMTEROUX, fermés depuis plusieurs années.

Cette friche économique doit être restructurée car elle risque d’être squattée et occupée par les gens du voyage comme cela s’est produit il y a deux mois.

Rappelons d’ailleurs qu’à quelques dizaines de mètre de là, le magasin LIDL a dû fermer et qu’il a été squatté par des caravanes pendant plus d’un an.

Le projet présenté porte sur un ensemble appartenant à des commerçants perpignanais depuis plusieurs générations, la famille QUINTA, qui exploitent un magasin en centre-ville et ont développé la création des Toiles du Soleil dans le monde entier.

Ils sont les mieux placés pour juger de leurs intérêts économiques et commerciaux et la Ville les aidera.

La zone concernée n’est pas en périphérie de Perpignan mais au cœur de l’unité commerciale la plus importante du département.

Le projet n’est pas concurrent des commerces du cœur de ville car les surfaces proposées n’existent pas en centre-ville.

Il concerne uniquement l’implantation de commerçants et la création de plus de 100 emplois.

Les opposants à ce projet le font uniquement pour des raisons politiques car ils ne veulent pas que la ville réussisse, enfermés qu’ils sont dans des modèles économiques révolus.

Il est amusant d’observer que le maire de CLAIRA et Madame la Conseillère Départementale de CABESTANY s’opposent à ce projet alors qu’ils votent les yeux fermés, quand il s’agit de ces deux communes, à toutes les extensions qui ne dépendent que de l’attractivité de la population perpignanaise.

Que dire des soi-disant représentants des commerçants du centre-ville à la tête d’associations sans adhérents, ou presque, n’ayant pas présenté leurs comptes à la préfecture et dont l’intervenant principal exploite un magasin…tenez-vous bien, dans le centre commercial de CLAIRA.

Pour le reste, je dirai simplement que leur attitude est simple quand il s’agit de la municipalité de Perpignan « contre tout ce qui est pour et pour tout ce qui est contre ».

Ils poursuivent là depuis plus de vingt ans leurs échecs politiques car ils n’ont pas le sens de l’intérêt général.

Ils continuent à exploiter leurs petites boutiques politicardes remplis de rancœur, de haine et d’envie.

Nous soutiendrons ce dossier exemplaire dans l’intérêt de notre ville et des Perpignanais au cÅ“ur d’un site apprécié par tous qui doit nécessairement se restructurer”.