-“Fêter la mort d’une personne est, pour moi, une limite qu’il ne faut jamais franchir. Peu importe qui était cette personne, ce qu’elle représentait, ses idées ou ses actes. Se réjouir de la disparition de quelqu’un abaisse celui qui s’en félicite. La mort est un rappel universel de notre humanité et de notre fragilité. Elle...