(Communiqué)
-“Dans les Pyrénées Orientales comme au niveau national le résultat du 1er tour des élections législatives est une condamnation sans appel de la politique de Macron
Malheureusement ceux des électrices et des électeurs qui pensent donner un prolongement à cette volonté en votant RN se tirent une balle dans le pied.
Comment peuvent-ils penser que cette formation au vu des actes de ses élus et de son alliance avec l’épouvantail Eric Ciotti va constituer une alternative et répondre à une volonté de rupture avec les politiques antisociales inspirées par le grand patronat.
Les milieux financiers ont par ailleurs exprimé clairement leur satisfaction des résultats électoraux au vu de l’envol des cours de la bourse qui est le baromètre antisocial par excellence.
Aujourd’hui il n’y a qu’une alternative, c’est celle du Nouveau Front Populaire et de ses candidats.
Les électrices et électeurs des Pyrénées-Orientales qui ont un attachement à la démocratie, qui sont d’une culture humaniste et républicaine -quelles que soient leurs nuances politiques- n’ont qu’une possibilité de faire barrage à la démagogie Lepéniste empreinte de racisme, de xénophobie et d’atteinte aux libertés.
Le programme du RN est sans perspectives réelles d’amélioration du sort des habitants de ce Département mais au contraire facteur d’aggravation des divisions et des tensions.
Voter pour les candidats du Nouveau Front Populaire c’est aussi voter pour corriger le système électoral en vigueur qui serait susceptible de donner une majorité absolue à un courant d’opinion qui ne représente qu’un tiers de l’électorat.Y compris dans notre département au moins deux sièges devraient revenir à d’autres formations.
Nous appelons les salariés, retraités et jeunes de ce département à se joindre à toutes les initiatives pour convaincre les électrices et électeurs de la nécessité d’un sursaut et à se mobiliser pour battre l’extrême droite et maintenir la possibilité d’un progrès social avec le Nouveau Front Populaire.
Rendez-vous notamment Jeudi 4 Juillet 2024 à 18h devant la Préfecture à Perpignan pour exprimer cette volonté”.
Parti Communiste Français (PCF 66)