“Les Harkis se sont sacrifiés pour la France mais la réponse de la patrie a été profondément injuste pour ces combattants admirables et leurs familles.

Les camps et les hameaux de forestage de notre département des Pyrénées-Orientales en sont les tristes témoins. Il n’est jamais trop tard pour réparer les erreurs du passé.

Je suis donc ravie et honorée d’intégrer la Commission nationale indépendante de justice et de réparation des préjudices subis par les Harkis”. (Michèle Martinez)