(Communiqué)

 

 

Louis Aliot, maire de Perpignan, vice-président du Rassemblement National (RN), nous communique avec prière d’insérer :

 

 

-“En réponse à Madame Annabelle Brunet, suppôt de Jean-Paul Alduy*, et à ses disgressions dans le journal de la gauche locale, il me paraît important de rétablir la vérité face à ses grotesques insinuations

 

– Premièrement, depuis maintenant dix ans que nous faisons l’objet d’accusations instrumentalisées par nos adversaires politiques, je n’ai jamais caché les tenants et aboutissants de l’affaire dite « des assistants parlementaires ».

Puisque Madame Brunet semble le découvrir, il faut donc que je lui rappelle que j’ai été plusieurs fois candidat et élu successivement député européen, député à l’Assemblée Nationale puis maire de Perpignan et enfin conseiller départemental lors d’une partielle, et tout cela en toute connaissance de cause suite aux campagnes de presse permanentes des médias locaux.

Si cette personne considérait davantage nos concitoyens, elle mesurerait combien ils sont beaucoup plus lucides qu’elle ne l’est et surtout beaucoup plus attentifs aux résultats obtenus et à l’amélioration de la situation de Perpignan.

C’est, d’ailleurs, ce qui explique la défaite de l’équipe à laquelle appartenait Madame Brunet lors des élections de 2020, équipe qui agitait déjà tous les épouvantails possibles. Et que dire de ses 5% aux élections législatives !

Que nul n’ignore que cette blanche colombe élue sur l’étiquette LR au Conseil départemental a trahi ses électeurs tout de suite après en rejoignant la majorité de gauche, apportant ainsi son soutien à la présidente socialiste Hermeline Malherbe mise en examen dans l’affaire de l’Office HLM 66 pour « favoritisme, corruption passive, trafic d’influence passif et prise illégale d’intérêts » !

– Deuxièmement, l’accélération du calendrier d’appel dans cette affaire est le fruit de notre volonté d’être rejugé le plus rapidement possible ; tant il est évident que le jugement de première instance laisse à redire sur le plan des conditions de débats et de la sévérité des peines prononcées.

– enfin, l’avocate qu’elle est censée être devrait se rappeler au souvenir de la présomption d’innocence qui bénéficient à chacun y compris aux personnes avec lesquels on a des désaccords politiques.

Surtout, Madame Brunet serait avisée de méditer sur le fait que l’instrumentalisation des procédures judiciaires ne permet jamais d’obtenir ce que les urnes vous refusent.

Malgré la gravité des accusations portées à notre encontre, l’adhésion des concitoyens à nos idées et à nos valeurs est toujours plus forte. Ce ne sont pas les mauvais commentaires d’une anecdotique élue municipale retrouvant un siège par une manœuvre politicienne qui vont changer cette réalité.

J’avoue avoir eu la faiblesse de croire, qu’au moment de la voir rejoindre notre assemblée, elle allait enfin rendre aux Perpignanais les près de 40 000 euros de factures laissées impayées après l’organisation du grand meeting du catalaniste Puigdemont. C’est à sa demande et sur ses directives, que les moyens municipaux ont été mis à disposition de ce rassemblement en toute illégalité.

Depuis, la Municipalité bataille pour récupérer l’argent des Perpignanais. Je pensais réellement qu’elle allait rendre cet argent, et s’excuser des conséquences dommageables de la seule action qu’elle aura menée en douze ans de participation aux mandatures de son mentor”.

 

Louis Aliot, maire de Perpignan