(Communiqué)

 

Sandrine Dogor-Such (RN), députée de la 3e circonscription des P-O, nous communique avec prière d’insérer :

-“Poursuite de l’examen du projet de loi de financement de la Sécurité sociale

Depuis plusieurs semaines, je suis pleinement mobilisée à l’Assemblée nationale pour défendre les intérêts des Français dans le cadre de l’examen du projet de loi de finances et du projet de loi de financement de la Sécurité sociale pour 2026. En tant que commissaire aux Affaires sociales, je participe sans relâche aux travaux en commission et en séance publique afin d’assurer une ligne claire : protéger notre modèle social et refuser les reculs imposés par la droite sénatoriale.

Lors de son passage au Sénat, la majorité sénatoriale a adopté un texte lourd de conséquences pour les Français. Elle a notamment voté :

• le maintien de la réforme des retraites, malgré l’inquiétude croissante des assurés ;

• le gel des pensions et de nombreuses prestations sociales, entraînant une baisse mécanique du pouvoir d’achat ;

• une surtaxe d’un milliard d’euros sur les mutuelles, qui sera inévitablement répercutée sur les cotisations ;

• le gel du barème de la CSG, pénalisant fortement les ménages aux revenus intermédiaires ;

• l’absence totale d’économies sur les dépenses liées à l’immigration, y compris irrégulière, malgré les alertes répétées de nombreux rapports sur la nécessité d’un pilotage budgétaire plus rigoureux.

Ce texte affaiblit les retraités, pénalise les familles et renchérit le coût de la santé pour l’ensemble de nos concitoyens.

Nous entamons aujourd’hui la deuxième lecture en commission, avant la reprise des débats en séance jusqu’au 7 décembre. Cette dernière étape sera décisive pour corriger les choix injustes opérés par le Sénat et défendre une Sécurité sociale fondée sur l’équité, la solidarité et la protection des plus vulnérables.

Je veux le dire avec force : je ne lâcherai rien. Je continuerai de mener ce combat législatif avec détermination, au service des Français et de l’intérêt général.

À mes électeurs, j’adresse un message de transparence et de proximité : ma présence à Paris est indispensable dans cette période budgétaire cruciale. Je reste toutefois pleinement engagée pour notre circonscription, que je continue de suivre activement à distance avec mon équipe. Je serai de retour sur le terrain dès que les travaux parlementaires le permettront.

Je remercie chacun pour sa confiance. Le travail continue, avec sérieux, constance et sens du devoir”.